loqa2a
عضو نشيط
- رقم العضوية :
- 7652
- البلد/ المدينة :
- زريبة الوادي - بسكرة -
- العَمَــــــــــلْ :
- مختص في التخدير والانعاش
- المُسَــاهَمَـاتْ :
- 1000
- نقاط التميز :
- 1167
- التَـــسْجِيلْ :
- 15/12/2010
En application des textes en vigueur, la wilaya d'Alger a refusé la demande d'autorisation de la marche prévue le 12 du mois en cours initiée par la « coordination nationale pour le changement et la démocratie ». En revanche, il a été proposé aux initiateurs de la marche d'organiser leur manifestation dans l'une des salles de la capitale comme la coupole du complexe olympique Mohamed Boudiaf qui peut accueillir 10.000 personnes. M. Bouchachi, le président de la Ligue de défense des droits de l'homme (LADDH), avait souligné auparavant que les initiateurs de la marche avaient décidé de maintenir leur action. Il avait déclaré samedi dernier que « jusqu'à présent, il n'y a pas eu de refus pour organiser notre marche de la part de la wilaya d'Alger, qui nous a demandé, mercredi dernier, de reformuler la demande ».
Pour les autorités, l'interdiction des marches à Alger est justifiée par des raisons d'ordre public « et n'est pas pour y empêcher une quelconque expression ». Le président de la République avait indiqué jeudi dernier lors d'un conseil des ministres que la levée de l'état d'urgence interviendra dans un très proche avenir. Le président de la République avait rappelé que « l'état d'urgence a été instauré pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c'est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale ». Pour le président de la République, « l'état d'urgence n'a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l'avis même des observateurs qui les ont suivies ». Concernant l'organisation des marches, et hormis la wilaya d'Alger, le chef de l'Etat a précisé que « rien ne l'entrave dans toutes les autres wilayas, pour autant que les demandes et les conditions exigées par la loi soient réunies
Pour les autorités, l'interdiction des marches à Alger est justifiée par des raisons d'ordre public « et n'est pas pour y empêcher une quelconque expression ». Le président de la République avait indiqué jeudi dernier lors d'un conseil des ministres que la levée de l'état d'urgence interviendra dans un très proche avenir. Le président de la République avait rappelé que « l'état d'urgence a été instauré pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c'est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale ». Pour le président de la République, « l'état d'urgence n'a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l'avis même des observateurs qui les ont suivies ». Concernant l'organisation des marches, et hormis la wilaya d'Alger, le chef de l'Etat a précisé que « rien ne l'entrave dans toutes les autres wilayas, pour autant que les demandes et les conditions exigées par la loi soient réunies